Pendant que l’imprimante (et bruyamment) nettoie ses têtes, je termine d’intégrer la dixième et avant-dernière partie de Féroce (qui s’intitule « Barbagia ») dans l’écosystème de test de la version web du livre. Le téléphone sonne. C’est du spam d’entreprise. J’appuie sur la touche neuf. Je disais, le site. Il faudra ensuite faire une copie de la base et la déplacer au bon endroit. Et accessoirement s’atteler aux finitions (pages connexes, liens chapitres suivants et précédents...). Le téléphone sonne. C’est le journal des annonces légales. Ça ne nous intéresserait pas d’avoir un compte professionnel ? Non. Quelque part, c’est tout àfait logique d’enchaîner àFéroce Giono (Un de Baumugnes) : Cet an-là, y avait avec nous un type de Marseille, un jeune tout creux comme un mauvais radis, la peau sur l’os et un tatouage àla paume de la main où il y avait d’écrit "Merde". Il tripotait le blé avec ça ! « Si tu devenais très riche du jour au lendemain, ce serait quoi ton premier achat ?
— Un petit couteau en céramique. »