Il y a beaucoup de vent. Hier déjà. Le mouvement circulaire des feuilles au coin de la rue, ça donnait un indice sur la forme, le volume. Aujourd’hui c’est plutôt les grandes bâches des échafaudages, de l’autre côté de la place, blanches, qui battent de ouf. À la périphérie des yeux ça peut devenir genre une tempête de neige (non). Et le vent s’engouffra sans prévenir dans ce Café Métro à l’intérieur de quoi on s’est installé avec Claire pour parler de son livre à paraître en avril, (...)