Toujours pas de soleil. Mais des lueurs électriques de partout. C’est haussmanien en face. Nous non. On a des aplats verts au sommet des buildings (je me demande c’est quoi). Hors de l’écran pour réécrire ce que je sais avoir mal (« Bara no hanayome ») écrit. Il y en a sept, sept cartes soit à refaire de zéro (ça arrive) soit à repenser, je sais pas. Par exemple il y avait celle qui était censée évoquer les flashs de lumière découpés par l’architecture moderne (ou bien, qui sait, brutaliste ?) alors ne (...)