Il n’y a rien de gratuit dans ce monde. Tout se monnaye. Ça n’est pas toujours de l’argent. Par exemple, lorsque j’amène Poulpir pour sa visite de contrôle à l’École vétérinaire de Maison Alfort, je dois laisser quelque chose à l’entrée. D’ordinaire, c’est ma carte d’identité, et le vigile en recopie scrupuleusement chaque numéro et, je l’imagine, mon nom. Pourquoi ? On ne saura pas. Du reste, on n’a jamais demandé. C’est comme ça. Mais là, à cause de la chaleur, je n’ai pas pris mon (...)