Chère Madame, Cher Monsieur,
Si je prends contact avec vous ce jour, c’est que ça ne va pas. J’ai eu la faiblesse d’acheter votre produit, alors même que je n’achetais plus de pizzas industrielles sous plastique depuis des mois. Et je le paye aujourd’hui. Vous me le faites payer. C’est bien. Sans le savoir, vous me rendez service. Ça va m’encourager à ne pas replonger. À me tenir à distance de ces mets. Mais tout de même. Là, j’en suis à me dire devant chaque aliment : est-ce que ça, je (...)