Je n’ai toujours pas remplacé le deuxième fil élastique du porte-bonheur d’Asakusa alors la malchance s’accumule, s’accumule, s’accumule, c’est à croire que je ne veux pas que la chance revienne. Dans notre époque « qui n’est ni plus tout à fait postmoderne, ni encore résolument cyborgienne », la cafetière n’a pas duré plus d’un mois. C’est du verre, ce truc. Je veux dire, littéralement. Fait un café douteux dans un gobelet en carton ou quoi qui ressemble aux trucs qu’il y a chez (...)