Hier, j’avais du mal à formuler à T. le véritable sujet de LS. Ça a avoir avec les matières plastiques, encore que j’aimerais ne pas utiliser ce mot du tout dans le récit. Le plastique est une forme de vie sans vie. Un vestige d’une vie passée, délitée, transformée en quelque chose d’inerte par l’intervention de l’homme. Somme toute, c’est exactement la définition qu’on pourrait faire du roman. Voilà autour de quoi je tournais l’autre jour sans réellement pouvoir mettre le doigt dessus. Il (...)