Tant que l’image de la fin à atteindre se surimpose à ce que nous entreprenons, tant que nous restons tendus et rivés à notre but sous la pression de la volonté et la force de ventouse des affects, certains états mentaux et physiques resteront toujours hors d’atteinte, puisqu’en procédant ainsi nous inhibons les forces susceptibles de nous acheminer dans la bonne direction.
Romain Graziani, L’Usage du vide, Gallimard
Me concernant, l’état de tension idéal pour écrire se retrouve dans (...)