Depuis que mon alarme de réveil est réglée sur la « Partita pour violon n°2 en ré mineur », je suis très attentif à la progression de la musique, à où on est, à quand on est dans l’avancement du morceau, et de ses reprises, puisque le son est bouclé. Et puis je me suis accoutumé à tout ça. Jusqu’à ne plus percevoir la musique que comme une information, l’information qu’il est l’heure de se lever le matin. Comment en ai-je pu tolérer de réduire Bach à un bruit ? Coût des ISBN commandés à (...)