Je sais que je suis rentré à Sainté lorsque :
la nuit s’impose noire et opaque, la lumière ne filtre pas, personne ne se lève à sept heures le week-end
dès la sortie de la gare, quand le ciel bas et lourd, etc.
dans les rues le passant face, autour et derrière moi marche lentement comme si rien ne le pressait
le tram apparaît au coin d’une rue, minuscule, deux wagons uniquement
le même tram s’arrête successivement à deux arrêts séparés par cent mètres uniquement
pour mes déambulations de (...)