Déambulations douteuses dans un bouquin franchement glauque, voilà comment on pourrait décrire ces quelques heures de lecture passées entre les pages de Tristesse et beauté. Les relations entre les personnages sont toujours malsaines, parfois cyniques (souvent les deux). Les analepses, intégrées directement au fil du récit, constituent de légers havres de paix ponctuels (parfois non) contre lesquels on peut souffler. Exemple ici (sauf qu’on ne souffle pas, ou bien alors de travers). (...)