Je vis sans en pouvoir douter, et il me semble que je le vois encore, un homme qui marchait sans tête, dans les rangs de ce triste troupeau. Il portait, la tenant par les cheveux, sa tête coupée, au bout du bras, en guise de lanterne, et la tête louchait et nous disait : « Hélas ! » Il semblait se servir de fanal à lui-même. Ils étaient deux et un, un et deux à la fois : Celui d’en haut sait seul comment cela peut être.
Dante Alighieri, L’enfer, traduction de Quidonc ?
J’ai (...)