J’ai attaqué la partie livre-chorale des Détectives sauvages. Chacun s’exprime l’un après l’autre, suite de témoignages diffuse et désordonnée autour d’un dictaphone fictif qui prend la forme du livre. On suit la trace des personnages réal-viscéralistes du récit inaugural. Ici, Auxilio Lacouture raconte, entre autre, l’occupation de la faculté de philosophie et de lettres à Mexico, elle recluse dans les toilettes de l’université et, de l’autre côté des cloisons, des soldats violant (...)