Vie grise. Toute la journée durant écumer les cinquante-quatre pages d’un xls et dans la tête le coeur une seule obsession : le raccourcir ce xls, en supprimer des lignes, gruger la verticalié, supprimer d’autres lignes, supprimer supprimer supprimer, quitte à niquer la taille des images, quitte à tordre la police, quitte à quitte à quitte à perdre mon âme.
Je feuillette une interview d’Edmund White parue il y a longtemps dans la Paris Review. Je n’ai jamais vraiment lu Edmund White mais (...)