Parce que la vie n’est pas comme ce long instrumental de Blonde Redhead, à la fin de « Golden Light » peut-être ? Ou bien ce pont quasi crépusculaire dans « The Most Immaculate Haircut » de Metronomy. On a l’impression qu’il ne se passe rien, et pourtant tout est dans ce rien. Souvent quand je lis des classiques j’ai envie de couper des mots, des sons, des phrases entières. Recomposer les textes ainsi pour les rendre contemporains ? Ou pour rendre là encore compte d’une lecture décalée (...)