Il y a un problème avec les algorithmes de recommandation : ils t’enferment dans ce que tu écoutes. J’écoute de tout, j’ai besoin de ça écouter des trucs différents. Mais écoute du classique ou de la musique minimaniste, de l’électro, et on t’enferme dans l’absence, dans le sans mot, là où il n’y a pas de voix humaine. On a besoin, des fois, de voix humaines. Le dernier truc que j’ai découvert, c’est Bachar Mar-Khalifé. Ça vient de l’algorithme. Et dans Unlucky Young Men, tout le monde se (...)