Rien ne m’arrête ; rien ne m’attend. Quoi que je fasse, je me retrouve toujours à bidouiller. Faire les choses officiellement ne m’intéresse pas. Toujours il faut que je me tienne à un équilibre entre les faire et ne pas les faire. Par exemple, je commence sans le commencer Anatomie de la mélancolie : pourquoi ai-je cru qu’il s’agissait d’un faux ? Un livre contemporain, prétendant être du 17e siècle, tout en ne l’étant pas. Réalisant mon erreur, je suis nettement moins disposé à (...)