Ikebukuro de jour VS Ikebukuro de nuit. Ici, semble-t-il, la plus grande librairie de la ville. Ce n’est pas très loin. Je cherche à ramener des souvenirs. Par exemple, de la poésie japonaise. Mais comment identifier la poésie dans une langue qu’on est juste totalement incapable de lire ? La qualité d’objet des livres a l’air ici moins poussée qu’en France (je parle des nouveautés commercialisées, pas d’antiquités comme des carnets ou des livres d’esquisses d’occasion qu’on a pu voir à Kyoto (…)