En anglais dans le texte : An N-Dimensional Mishmash.
Les charniers mis à part, je me demande parfois, entre les six-cent et quelques pages de ce livre, si chaque nouveau petit chapitre introduit dans chaque nouveau grand chapitre ne correspond pas en réalité à un autre début, le début d’un autre livre, d’un autre roman, d’un autre récit, qui poursuivrait ensuite d’autres récits parallèles et démultipliés à l’infini dans diverses profusions de grands et petits chapitres entrelacés. Il y a (…)