Mes deux dernières heures de conduite avant l’examen sont avec la même personne que mardi et contrairement à mardi tout se passe disons pacifiquement. Nous avons tous les deux mis de l’eau dans notre vin. En fait, on a tellement mis de l’eau dans notre vin que dans ce vin y a plus de vin, et que grosso modo c’est de la pisse. De l’examen proprement parlé, j’en ressors en pensant c’est mort, bien que mon accompagnateur m’ait dit juste avant (il ne faut jamais se dire que c’est mort), et de (…)