Enfin une grasse matinée, dis-je à H. en me levant, heureux comme avec une bonne nuit de sommeil. Il est sept heures et demie, me répond-il. Peut-être, mais au moins il fait jour, et ce jour qui se lève est beau. C’est bien beau, éviter de périr, mais le reste du temps, on veut vivre, nous autres, dit quelqu’un dans un roman 1. Le programme de la journée est simple. Kig ha farz au restaurant qui jouxte l’Abbaye du Relecq. Landerneau et son exposition John Howe. Écrire un peu sans attente ni (…)