J’ai déjà dit qu’à l’intérieur de mon esprit je connaissais des détails et des formes, que j’étais très différente de la sotte de l’extérieur qui parlait sans points ni virgules car si elle les mettait elle perdait la parole. J’en mettais parfois pour respirer mais cela me convenait de communiquer à voix haute rapidement pour qu’on me comprenne et éviter des lacunes silencieuses qui découvraient mon incapacité à la communication verbale car en m’écoutant moi-même j’étais confondue par les (…)