On est mort si on n’a pas de frites, dit ma mère. Mon père, lui, stocke des chips par paquet de 400g, au cas où, mais sans préciser quoi. Je réponds à un manuscrit en précisant à la personne que c’est contre-productif de mettre en copie des dizaines d’éditeurs différents dans le même mail, qu’il faut cibler un minimum et écrire minimumement de façon personnalisée aux gens, et j’ai le sentiment qu’entre les quarante adresses en copie et les 400g de chips, il en va du même surplus. Puis mon (…)