Descends : tu seras à l’abri de la poussière grise et des salissures du monde, à l’abri des masses d’air froid violentes qui rendent la ville ingrate, et si inconfortable – que te plains-tu de descendre. Ceux qui s’affichent ici, sur les trottoirs, les immobiles, leur tête est détruite, leur corps est rongé, voilà ce que pour toi tu souhaites ? Souviens-toi de l’ancien plaisir à ces bouffées de chaleur, à ces odeurs que tu reconnais, la ville, et comme tu l’aimais le monde électrique, ou le (…)