Des années plus tôt, Lucio avait assisté à Monterrey à une réunion de directeurs de bibliothèques de l’État, c’est là qu’il avait appris tout ce qu’on pouvait trouver entre les pages des livres : des fleurs, des papillons, des ongles rognés, des notes, des mots d’amour, des adresses et, surtout, de la nourriture, boissons renversées, taches de graisse, sucre collé, miettes, mayonnaise et sauces, ainsi que ce qui, dans le compte-rendu de cette réunion, avait été consigné sous le terme de (…)