Si je fais durer (Le) loup c’est à la fois que j’en suis sorti et que je ne veux pas en sortir. J’ignore s’il y a un thread Twitter le plus long au Guinness Book mais je peux peut-être concourir (j’allais écrire conquérir). Il y a un effet de transition en CSS qui n’est pas reconnu par Safari, que je n’utilise plus n’usant plus (ou si peu) de mon Mac, mais je ne comprends pas encore si c’est transition: transform 1s;, transform-style: preserve-3d, transform: rotateY( 180deg ) ; ou transition: transform 0.5s;  scale: 1.5; ou un savant mélange de tout ça. Sur mobile non plus mon code ne sort pas bien, mais ce n’est pas une surprise : ce que je veux faire n’est pas (et n’a pas à être) soluble dans le tout responsive. Ce texte sur lequel je travaille, et qui n’a rien à voir avec (Le) loup, j’ai commencé à l’écrire à un jour près il y a deux ans. Ça ne m’a pas motivé à tout terminer rapidement, et ça ne m’a pas non plus donné envie de laisser reposer la pâte. C’est simplement le tempo naturel du texte, qui est comme un genre de pouls finalement, et qu’il faut respecter si l’on veut que lui, de son côté, nous respecte. Guerre et paix :

La hache sera une bonne chose, l’épieu ne sera pas mal, mais le mieux sera la fourche ; le Français n’est pas plus lourd qu’une gerbe de seigle. Demain, après midi, l’image d’Iverskaïa ira visiter les blessés de l’hôpital Catherine. Là nous les aspergerons d’eau bénite, ils en guériront plus tôt.