Il faut être d’une infinie patience avec ces applications en ligne qui sont censées te simplifier la vie car elles font le contraire de ce qu’elles font (te faciliter la vie), là. Tartelette, qui ne supporte pas ici d’être enfermée la nuit et qui tape avec ses pattes arrière, elle ressemble à une chouette effraie. Je parle à L. avant de fomenter un coup neigeux envers N. ce samedi. Fortune cookie : suis ton cœur (vaste programme). Ici, à cet endroit précis du tissu intriqué de la ville, depuis que j’ai quelque chose comme huit ans, des moineaux s’envolent au passage de ton ombre. Et là, après ce virage à quatre-vingt-dix degrés qui conduit vers le lotissement, il y a
encore aujourd’hui
le fantôme d’un chien loup
qui s’appelait je sais plus
en 94.
Ça ne m’aidera pas à me souvenir qu’il convient de copier et non cloner dans Echosign un bloc, au risque de faire foirer l’ensemble du document. Peut-être que si je l’avais écrit, à l’époque, dans le journal, ça me serait revenu en tête aujourd’hui (là non). Quand soudain (et c’est assez émouvant, ça), voilà que tombent les premières notifications automatiques de catalogage de nos livres numériques par la BNF. Après un an de travail pilote, eh bien c’est beau. Mais j’ai changé de sonnerie de réveil, ce sont des chouettes (c’est chiant) et je ne sais pas ce que ça veut dire en cuchon. « Bara no hanayome » : deux nouvelles cartes malgré le fait qu’une matière commence à se tarir. Le plus dur, ce sera surtout d’aller mettre les mains dans le cambouis de ça pour réécrire en si peu de temps autant de trucs inréécrivables.