On en est réduit à concevoir les choses selon qu’elles fonctionnent ou non. Qu’elles marchent ou non. C’est une tournure de phrase que j’utilise souvent, parce qu’elle emprunte au vocabulaire de la machine ou de la robotique, et que je m’estimerai plus heureux réduit (ou bien, qui sait, élevé ?) au rang de machine. Des fois, les choses peuvent marcher et ne pas marcher en même temps. Par exemple, quand je travaille sur la prochaine version du site (la troisième ? la quatrième ? je ne sais plus), tout fonctionne... mais sur la moitié des navigateurs testés, à savoir sur Chrome et Opera. Sur Firefox et Safari, non. Pourquoi ? Je n’ai pas encore de réponse à cette question, mais j’imagine que c’est un simple écart de syntaxe CSS et qu’il faut donc trouver les bons mots pour faire ici ce que je parviens à faire là-bas. Il en va de même avec le Nocertone, qui échoue à réguler réellement les migraines mais qui parvient néanmoins à en réduire la fréquence et l’intensité. Même chose quand il s’agit d’arrêter le Nocertone, ça marche et ça ne marche pas, et là après avoir réduit de moitié les doses, certes je parviens de nouveau à dormir à peu près correctement, mais je n’ai plus faim nulle part. Est-il utile d’avoir faim dans ce monde ?