She knew she felt, but knew not what she felt : terminer Melmoth the Wanderer me rappelle qu’à l’époque de l’écriture d’Eff, il y a quelques années, j’avais pour ambition d’appliquer les codes du roman gothique au roman d’amour, avant de m’égarer un peu. Sur les réseaux, beaucoup se moquent d’une page plus ou moins érotique, il est vrai assez ridicule, du dernier roman d’un ministre. Mais en quoi est-elle plus ridicule que la plupart des pages de la plupart des romans qui paraissent (...)