Quand j’écris, comme quand je lis d’ailleurs, j’aimerais avoir (j’aimerais qu’on ait) l’illusion du mouvement. L’illusion, car c’est toujours une construction bien sûr, comme dans ces immenses maps en monde ouvert, dans les jeux vidéos, notamment dans les premiers du genre, où en réalité on passe son temps à te faire croire à l’immensité plutôt qu’à la créer de toute pièce, ce qui serait juste inhumain (inhumain à coder, raison pour laquelle on en vient à présent à des techniques (...)