↑ 1 La veste de mes rêves est en vitrine, elle coûte 845€. Je pourrais me la payer, je me la payerai pas. Pauvre reflet dans le reflet du verre.

↑ 2 D’ailleurs où sont passés mes rêves, ceux d’il y a dix ans à peine ? Lesquels ? Je suis en train de les vivre. C’est encore pire que tout.

↑ 3 Les métros pleuvent, le ciel est bas, la Seine est haute.

↑ 4 Encore faire demi-tour (faudrait).

↑ 5 Aux Tuileries fracas des feuilles au sol et coule la rouille. Demain on nous prédit l’Octobre sur nos crânes et membres.

↑ 6 Mes rêves sont dans mon dos. Je les vois vivre et je les situe bien. Ils ne durent qu’une semaine et se déroulent Ailleurs.

↑ 7 Est une pulsion qui m’écartèle.

↑ 8 Quel titre déjà ce Paul Auster qui s’attarde longuement (dans ma tête longuement) sur l’épisode de Jonas et la baleine et, en parallèle, celui de Pinocchio ? C’est L’invention de la solitude. Ce titre je l’aurais, là, sur le bout de la bouche et dans les doigts, oui mais douze heures plus tard. Y Relire.

↑ 9 Surtout sans moi. Tant pis pour Volodine. J’irai pas, je rentre.

↑ 10 Conversation y a X mois avec V. me conseillant de lire, de Paul Gadenne, Baleine. Je l’ai jamais trouvé ce titre. Mais d’autres diablotins du web le recommandent. Je m’en remets au hasard.