Perdu deux fois (à l’aller, au retour) à cause de Google Maps. C’est à cause de la confiance absolue qu’on accorde à ce truc. Je crois pertinemment que si le curseur est là c’est qu’il est là putain. Or les lois de la géolocalisation sont brouillées. On peut être là sur l’écran, là dans la réalité. Puis mes pneus se dégonflent. Ça se regonfle des pneus ? H. dit que oui. Bien. Et partout où j’arrive quelqu’un dit ça craint ici pour les vélos. Une nouvelle peur primaire : ne pas trouver son vélo quand on veut repartir. Déjeune avec Pauline à l’Orillon. C’est un bon restaurant l’Orillon. J’ai oublié ce que je mange mais c’est bon. Merdier avec Echosign. Je veux dire c’est aussi pour ça que je suis là. On regarde sur l’écran on fait des envois tests. C’est réglé normalement mais nous avons perdu du temps dans l’envoi des contrats. Et le fait est que non, je ne sais pas quoi répondre quand quelqu’un me demande, rue de Charenton juste, c’est par où Gare de Lyon ? Ici, en surface, je ne suis pas conscient de la géographie comme je peux l’être des taches souterrainnes. J’en arrive à ne plus me dire Soupir me manque mais ça fait chier qu’il soit mort. Progrès.