Chaque jour en allant vers la Poste et/ou le U (ce qui ces temps-ci correspond à la quasi exclusivité de mes déplacements dans le vaste monde), j’atteins ce point de la route où un chat noir et blanc sprinte pour traverser d’une traite et, vraisemblablement, rentrer chez lui. C’est toujours le même sprint et toujours le même chat. Ça me fait sourire sous un masque (qui n’est pas le masque du visage humain mais le masque plaqué par-dessus le masque qu’est le visage humain). Puis, au retour, (...)