C’est dans cette pièce que le maître aurait lors d’une grave maladie rédigé ses dernières volontés et non dans son bureau du premier étage, immobilisé qu’il était au rez-de-chaussée où il campait provisoirement. Son domestique d’alors qui finit ses jours à l’asile le soignait avec dévouement selon les uns, le séquestrait selon les autres.
Robert Pinget, L’apocryphe, Minuit, P. 24
Pas de place pour autre chose que pour Karamazov dans les rêves et comment, comment en tirer autre chose (...)