Ce livre immense, c’est à croire que je n’arrive à le lire que lorsque je me laisse porter par le mouvement longiligne d’un train, n’importe lequel. Le monde doit défiler sur les côtés pour me laisser filer au cœur de mon Paradiso. Ici les déambulations de Godofredo le Diable et un peu plus tard, une fois les pages retournées, le livre enfoui au sec, mes écouteurs vissés à nouveau, se rendre compte que le nice young man de la chanson de The Divine Comedy, c’est un Amaury, ni plus ni moins. (...)