Quand il avait fini ses heures, il retournait à l’ascenseur et dormait dans le bus. Il passait d’un ascenseur à l’autre, enchaînait les chantiers, vivait dans les bus. Il se déplaçait en permanence sur le réseau pulsatile enfoui dans la métropole, parfois tournant en rond, parfois s’écoulant d’un point à un autre, invisible des services de l’immigration, ne coà »tant rien au système d’importation de main d’oeuvre illégale, il choisissait une tanière, faisait un somme, observait. (...)