D’autres remarques de fond sur l’usage du Textopoly comme outil d’écriture. Des règles du jeu spontanées se sont mises en place dans le projet KEPLER. D’abord, ne s’en tenir qu’au texte ou aux caractères imprimés, pas d’image ou de son (ou alors des images composées par le texte). Ensuite, contrainte : une obligation de contact entre les blocs d’une même suite (j’appelle suite le contenu d’un rêve en propre, un récit autonome dans le flux du récit général), ne serait-ce que par l’angle (...)