Quoi que je fasse, ça ne sert à rien, et je ne me sens pas mieux après qu’avant. J’ai éprouvé le désir brutal de (re ?) lire les Pensées de Pascal en passant l’aspirateur. Ça n’a pas duré. Je comprends pas comment le tome un de la trilogie Orbitor de Mircea Cărtărescu peut m’illuminer, et le deuxième m’éteindre. J’ai l’impression que tout s’est déjà joué. Éteindre et étreindre sont voisins d’une seule lettre. J’ai la nostalgie des téléphones à clapet. Suivant l’évolution d’H. en temps réel (...)