Je ne sais pas si tu sais pour les roses qui tombent du mur sans jamais sécher
Fabrizia Ramondino, ici traduite par Emanuela Schiano di Pepe, Retours
Il y a une certaine tendresse ou naïveté à vouloir, lisant les livres de la série « His Dark Materials » (et désormais sa suite, « The Book of Dust »), conforter Philip Pullman dans son désir de voir des érudits, des universitaires (scholars) sauver le monde. Oui, c’est possible. Oui, on y croit. Car l’univers qu’il met en place dans ses (...)